mardi 31 août 2010

Laurent Fignon

Un sacré champion et assurément un sacré bonhomme.
Pour ma part, je lui dois de belles heures enthousiastes et des images plein la tête.


6 commentaires:

  1. Bel hommage, belle ressemblance. Premier grand champion de "l'ère moderne" (Hinault étant encore un coureur à l'ancienne), Fignon était un vrai personnage plein de panache. Je suis attristé par cette nouvelle : un héros de ma jeunesse disparaît.

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  2. et oui je l'aimais bien le Fignon mes que comme coureur il m'as souvent fait vibrer
    il va beaucoup manquer au cyclisme

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  3. Belle image oui.
    Contrairement à Christophe, je pense que Fignon a plutôt été le dernier. Certes il était "nouveau", avec son côté intello. Mais pas dans sa façon de courir. Pour moi, le premier de l'ère moderne, les "très chiants", c'est Lemond. Heureusement Contador et Schleck font revivre ce sport magnifique, au delà des suspicions, qui finalement ne m'intéressent pas.
    Pour moi, Fignon, ça restera son deuxième Milan-San Remo, avec LA MEME ATTAQUE que l'année précédente, avec le même résultat, mais avec des adversaires sur le qui-vive.
    Très fort.
    Fuoriclasse.

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  4. C'est vrai qu'en ce qui concerne le vélo, le Jean-Marc il en connaît un rayon...

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  5. Christophe : Pas vraiment content du résultat,faudrait sans doute y revenir mais c'est pas dans mes habitudes.
    Alain : Ca me fait plaisir que tu te rappelles avoir vibré pour le vélo.
    Jean-Marc : Ah ! C'est sur que tu t'y connais car pour moi aussi, Fignon c'est ce Milan-San Remo 89. La classe. Les italiens ne l'ont'ils pas appelé El Professor. Intelligent mais pas calculateur. En revenant sur son palmares, on se rend compte que ce mec en a gagné des belles. Et je ne parle même pas de ses 3 Tour de France et de ses 2 Giro, tu vois ce que je veux dire.
    J'ai retrouvé une vidéo du San Remo 88 mais pas celui de 89.

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  6. ...et le Grand Prix des Nations 1989.
    Quelle leçon.

    Je me souviens aussi d'un tour des Flandres, qu'il a pas gagné (c'est Van Hooydonck je crois qui l'a emporté après son attaque dans le Bosberg). Fignon pouvait pas gagner ce jour là : y'avait des mecs devant, personne bougeait, en attendant que Fignon comble l'écart. Et dès qu'il tentait un truc, tout le peloton des flandriens se mettaient "sur son porte-bagages"...
    J'étais "vert" devant ma télé.

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